Sonia Mutti

artista

exposition
1. Mostra Dal 20 Dicembre 2003 al 8 Gennaio 2004. Collettiva Tendenze Pittorico " figurativo ritrattista" Presso la Galleria Modiglioni a Milano

2. Mostra Dal 7 febbraio 2004 al 21 febbraio 2004 . Collettiva " Diverse ......emozioni" Presso la Galleria Minerva a Perugia

3. Mostra dal 7 Giugno 2004 al 29 Giugno 2004. Persola . Presso la Galleria " Il Collezionista" a Roma

4. Mostra dal 5 Settembre 2004 al 26 settembre 2004. Manifestazione Artexit 04. Arte Contemporanea Cortona. Sponsorizzata dalla Galleria Minerva

5.Esposizione presso galleria Open Art Aurum base asta a TAORMINA 2008

6. esposizione Unicef 2009/2010

7. 2010 esposizione a Milano dal comune di Milano 800 metri quadri di spazio, in collaborazione con altri 3 artisti

EXPOSITION ETRANGE

1 exposition 2010 New York avec follie
2. exposition 2010 Angleterre avec follie
3. exposition Dubaï 2010
4. exposition au Nice avec des temps de femmes
5. exposition Espagne avec des temps de femmes
6. exposition Portugal 2011 avec des temps infinis

7. exposition France 2018/19 Saint Maximin de Beaumes Var

Formazione

Moi artiste particulièrement attentive à la technique dans la construction du tableau, elle est, depuis toujours attirée par l'élément féminin, avec qui, et à travers qui, elle communique sa poétique, ses sentiments, la symbiose spéciale qu'elle conçoit avec le monde floral, où rêve et réalité se confondent en satisfaites, visions incisives

Quotazione

Critiques
CRITIQUES

Différentes........ Émotions de dott.Luciano Lepri

Sonia Rosaria Mutti, milanais, particulièrement attentive à la technique dans la construction du tableau il est, depuis toujours attirée par l'élément féminin, avec qui, et à travers qui, il communique sa poétique, ses sentiments, la symbiose spéciale qu'il conçoit avec le monde floral, où rêve et réalité se confondent en satisfaites, visions incisives.

Critiques
Les femmes de Sonia Mutti de dott.Agata De Laurentiis

Peindre le corps d'une femme est un parcours fascinant combien difficile. Il faut étudier l'anatomie, connaître la souplesse des tendons, la connaissance de la viande, l'intensité du regard. Mais il y a quelque chose de plus. Il faut aussi que le pinceau se quitte transporter, que tu caresses la plénitude des seins, la rotondité des hanches, la ligne douce des cheveux.
Et l'illustration se dessine peu à peu: avant les contours puis les nuances, les zones d'ombre et celles de lumière.
Mais dans les œuvres de Sonia Mutti, quelque chose différent transparaît: il y a une force qu'il contraint les illustrations à se libérer de la réalité bidimensionnelle oppressant de la toile pour devenir des femmes vraies, femmes qu'ils se racontent et qu'ils nous racontent.
Ils nous racontent d'instants volés à l'intimité, de larmes furtives qui raient le visage, de lettres que nous n'aurions jamais voulu lire de voyages rêvés et de rencontres poignantes. Le spectateur ne peut pas rester indifférent: il se quitte transporter de ces histoires, il écoute tout celui-là patiemment qui réussissent à communiquer.
Et il est vraiment l'idée de "communication" un autre je vise fondamental de l'oeuvre de cet Artiste. En effet, Sonia Mutti joue avec les stéréotypes féminins savamment qui le monde de la télévision et publicitaire ils nous mettent quotidiennement et, en partant vraiment de ces icônes modernes, il donne le feu vert à un procès de destruction en offrant, par contre, une vision désenchantée et sincère de l'univers-femme, femme comme mère, comme il génère et comme amant Mais aussi proie, objet du désir ou créature fragile suspendues entre rêve et réalité. Et il devient il Suit qu'il se rebelle à la présence étouffante de mains masculines, et Muse devient parsemée de fleurs et parfums, et Sorcière devient en ensorcelant avec ses longues jambes, et il devient, encore une fois, Femme.

critique d'art du pontificat de Rome
In quale latitudine, il mistero-donna, non ha il suo canto? Il sussurro e il grido emergono, dalle profondità abissali, per rendere partecipe il cosmo, e la creatura esplode, dalle sue membra, come luce primigenia di cui si coprí la terra e si popoló nell'urgenza estrema dell'amore.
"Quello che voglio esprimere non è solo la parte estetica del soggetto, ma quanto c'è oltre la vista dell'occhio". Il contrario ci stupirebbe, ed entriamo, nelle sue orme, nella cavitá dell'anima, per conoscere i segreti e gli estremi che fecondano l'opera'la quale nasce perché ha un di dentro da cui parte la dinamica. Cosí il fascino si adorna di ulteriori armonie: la raffinatezze fisiche diventano fuoco metafisico, in uno sfondo idoneo, che pone in risalto la figura.
Alcune opere, ad effetto monumentale, costituiscono un emblema, in un periodo basato sulle formule nella cui profondità manca la certezza di osannare il classico. Cosí, in arte, le approssimazioni trionfano.
Il desiderio di libertá, trova nell'Autrice un modello essenziale; e il superamento accademico trova l'eleganza con la quale il suggestivo e il reale diventano ala primaria per effettuare il volo.
La forza che la spinge possiede l'incantevole linguaggio dell'essere che vieta l'apparire e determina il ruolo; manifestare la vita; essere testimone, immergersi, nel mistero-donna, essendo donna, con sembianze umane e linee sovrumane, da conseguire, sul modello antico e in prospettiva eterna. La figura trascende il bio-fisico e si impone per eleganza.
È l'era moderna, le barriere sono abbattute. Il nuovo giardino della terra assomiglia all'altro, prima che Eva si svegliasse e sentisse la nuditá come tremendo castigo.
La Mutti propone il pensiero attraverso il corpo, e si libra, invadendo la traiettoria, pervadendola di linfa, poiché questo è l'alveo nel quale discende il seme fecondante. Cosí, Magnolia e Ortensia percorrono le vie dell'Eden. Le sensazioni si intersecano alla linfa stessa e producono un effetto. È l'effetto dell'arte, immagine ed essenza; l'impalpabilitá e spessore tra gli equilibri linguistici del presente-divenire, ovattato e mai sommerso, perché riceva e si unisca al resto della Creazione.
Il suo ricevere è luce, modulo perenne, ansia di cantare, attesa.
Cosí, il paesaggio e i fiori possono arricchire la scena tratta dal vivo: l'olio su tela prevale sulla tecnica mista, e la neve, o la solarità del girasole, completano lo slancio stilistico e lo rendono multiplo, come la terra su cui la donna e l'habitat si fondono, in un impeto geniale, e sfociano la tenerezza, l'attesa, il poema dell'essere, il desiderio, il bacio, il castello, il parco, l'orientamento e l'ordine.
Ogni tipo d'emozione è finalitá stessa delle cose che danno significato al mistero dal quale sono tratte.
È il fenomeno d'Artista che propone se stessa, senza imporre, con la capacitá del suono che spezza le solitudini e oltrepassa i limiti per mostrare quanto c'è oltre la vista dell'occhio. Ci sembra straordinario il fatto che l'arte sia alfabeto universale e che esprima ció che passa, attraverso la memoria, per osannare la terra con le sue altitudini e le sue pianure. È un mirabile progetto, quello della Mutti: rendere palese la coscienza, attraverso il corpo senza veli, perché sia chiaro il linguaggio, e l'innesto abbia luogo, nella memoria altrui, come seme fecondante.
Ella tende all'equilibrio e riassume, in un sogno, le capacitá dell'anima. Intanto l'amore spazia, si fa largo, emerge, a sfondo nero, e propone la diagnosi: un'estrema ricerca di libertá. Il proposito di sfiorare i vertici.

Premi

concours
1"2° Concorso di pittura estemporanea " del Circolo Filologico Milanese. " Il Castello e il suo Parco" tenuto a Milano il 15 Giugno 2003. Graduatoria tra i primi 20 su 150 partecipanti.

2" Premio Arte 2003" organizzata da Giorgio Mondatori Editoriale, Tenuto a Milano il 29 Settembre 2003 con l'opera " Malinconia".

3"Meno 30" organizzazione Associazione Culturale Marco Valdo tenuta a Città di Savigliano (CN) il 10 settembre 2003 con opere: " Drappo Blu", " Ortensia", " La quiete", " Relax in terrazzo", "L'amante", "La Mulatta ( Amour).

4" Premio Tempi Moderni" organizzata dalla Ass. Culturale OmniArtis a Venturina (LI),

5" Concours du Château des Réaux "les jambes des femmes au troisième millénaire" 2008

Bibliografia

Mutti Sonia Rosaria, le 30 janvier né à Milan1974. Dans notre famille l'intérêt principal était l'art. Je suis grandie à une agence journalistique à côté, où le passage d'artistes était à l'ordre du jour. C'étaient les premiers an' 80 et je connus Pasquale Raffaello D'orlando, peintre magnifique de l'universalisme qui était basé sur la "Quatrième vitesse Dimension", place et temps. J'étais petite mais j'adorais le monde de la peinture et l'amalgamer des couleurs il me faisait découvrir nouvelles émotions et ma créativité exploser.
J'avais oncles et cousins aussi qu'ils peignaient, mais je ne réussissais pas à comprendre ce qu'ils voulaient faire... leurs théories étaient basées sur le copier. Avec D'orlando j'avais découvert au-delà le voir. J'étais son modèle préférée pour les portraits fait au moment, il me retirait en n'importe quel activités que je déroulais de fillette. Vers 1982 je vois pour la prime fois un exposition celle-là de D'orlando. Je me s'épreignis complètement de ce monde, plus tôt que prévu en ouvrant les portes de la culture. Après quelques ans d'ébauches et les premières approches avec le crayon des nuances différentes et élégantes, je passai au charbon, pastel, aquarelle, détrempe, acrylique fin à arriver au jeu des "couleurs vraies", les couleurs à l'huile. Odeurs et sensations différentes en chaque passage. Je m'inscrivis all' Institut Professionnel "G. Cova" comme 'allé laboratoire sérigraphique et graphique', comme école alternative, vu que mes parents ne voulaient pas que j'étudiasse l'école considérée artistique de peu d'opportunité. Je sortis avec un vote excellent, malgré mes contrastes continus d'opinion, le ne pas approuver quelques pensées en ce qui concerne la technique picturale. Au-delà l'art graphique et sérigraphie, j'appris la photographie en explorant un monde vu par un autre œil. J'étudiai psychologie du langage image-couleur et mouvement pour exprimer non seulement ce qui se voit. En 1993 j'eus problèmes de santé qu'ils me créèrent aussi au-delà aux difficultés physiques le psychologiques. Toutes mes perspectives tombèrent en entrant dans une période de complète crise. Je ne réussissais plus à dessiner...En 1996/1997 j'ai approfondi ma connaissance de l'art graphique en suivant un cours d'informatique près de l'institut des Marcelline. En 1997/1998 je m'inscrivis à un cours d'Assistance à l'enfance près du "Prêt Baby" en apprenant le mouvement libre corporel en objet, pleure, animal, musique, couleur, être libres dans l'intérieur de l'être. En connaissant et en vivant dans un monde d'enfants j'entrai en syntonie parfaitement avec lui. Après petits travaux et nouvelles expériences ouvrables comme commise, standardiste, dessinateur graphique pour un bijoutier travailla pour 4 ans près de l'institut des Marcelline avec fonctions différentes au point d'à arriver gérer un magasin. Avec les changements différents et heures ouvrables exténuantes, peindre était devenu devenue impossible. En 1999 j'entrai pour la fois énième en crise, le problème du passé me reprenait à la gorge, mais malgré tout je n'arrêtai pas de peindre il accentua mon envie ou mieux et depuis lors je n'ai pas arrêté plus. Je découvris le corps humain, tout ce qu'était délicieuse et universel mouvements et lumières jamais vues. Je commençai à leur peindre, ils étaient femme que je connaissais et autres représentaient mon "Moi."Après beaucoup d'années personne qui me connaissait ne réussissait à me stimuler pour continuer à créer. Les nus étaient censurés, privilégier les peintures avec paysage et natures mortes.
En 2000 je connus un peintre âgé, M. Sassi, spécialisé dans l'usage de l'aquarelle. Même si je ne partageais pas le genre, regarder ses tableaux m'aida en le développer les effets de la lumière.
En 2003 je connus Federico Guida, un peintre jeune coté dans le monde de l'art qui m'a aidé à développer avec des suggestions et conseils et agrandir ma technique. Les deux nous retirons nus mais en récréant complètement deux types de gendres; Femme hypnotique pour lui et Femme-femme pour moi. Aujourd'hui ma technique picturale est en évolution pleine, je mêle couleurs différentes, usage chaque type de technique mêle vraies couleurs inexistantes composantes différentes. Ce qui veux exprimer ne fait pas seulement la partie esthétique du sujet, mais combien d'il y a au-delà de la vue de l'œil. Quelle sensation il te suscite une couleur? Pourquoi coups de pinceau forts et petits coups de pinceau? Le peindre est le transmettre des propres émotions, chose il fait entendre, parce qu'et comme nous réagissons à lui. En le peindre il est un aborder de sensations différentes, le vouloir toucher avec main, cette peau, ces lèvres, entendre frémir il, jusqu'à percevoir la pensée du sujet le rendre vif. Il ne me suffit pas représenter un quelque chose, je veux le vivre.